25 juin, 2025

Mon équipement est fatigué

Mon équipement me lâche. Mon soulier droit rend l’âme, l’âge fait son œuvre et je peux de moins en moins forcer du pied droit, la semelle ne tient plus. Mon soulier gauche aussi montre des signes d’âge, la semelle commence à décoller. 

J’ai donc magasiné sur internet pour trouver des souliers à ma pointure. J’ai commandé ce soir en espérant qu’ils soient livrés à ma prochaine destination, soit Grindelwald. La livraison indiquait entre 24hrs et 5 jours à la commande, et après le paiement, ce sera livré entre le 27 juin et le 1er juillet. J’ai déjà pris entente avec mon prochain hôtel pour recevoir le colis. En cas de réception après mon séjour, j’ai spécifié que je paierai tous les frais pour l’envoi à ma destination suivante. 

J’ai finalement commandé les Shimano SH EX900 en Gore Tex à ma pointure. Prix en spécial à 50% ici en Suisse à 175CHF (298$, une aubaine puisque j’avais payé 416$ avant mon départ). Je croise les doigts pour qu’ils soient livrés à Grindelwald.  

Mes souliers Mavic ne tiendront pas quelques jours de plus.

Demain, pluie et orages violents sur Engelberg, donc congé de vélo. J’irai fort probablement à Luzern que je connais très bien, y passer la journée à flâner sous la pluie.

Jochpass et Trubsee - parcours en 3D

Voici la journée d’aujourd’hui dans la neige.

24 juin, 2025

Brunnihutte - parcours en 3D

Voici le parcours vers Brunnihutte


Brunnihutte à plus de trente

Pour le parcours de cet après-midi, je m’assure que la caméra est correctement paramétrée. Donc avec ce qu’il faut pour me faire un sandwich, je me dirige vers Brunni-Bahnen, la station pour joindre Ritis (1600m) en téléphérique. Ça permet de raccourcir l’ascension par ce temps très chaud, même en altitude aujourd’hui. Il en coûte 15CHF avec mon rabais de 50%. Il restera tout juste 260m de dénivelé sur plus de 4km sur une pente en continu et un soleil de plomb. Il n’y a que les derniers 20m de distance que j’ai poussé mon vélo, la pente était trop abrupte et chaque coup de pédales tournait dans le vide sur de gros gravas instables.



Sur ce tronçon, en m’arrêtant pour la photo, un octagénaire s’arrête me féliciter. Il est suisse et parle très bien français. Il me félicite de faire l’ascension en MTB sans moteur électrique. Il dit que les eMTB montent très vite sans se signaler et il trouve ça dangereux, je peux le comprendre à son âge, mais il est très en forme, il fait souvent de la randonnée en altitude tant pour monter que descendre. 





À mi-chemin, il y a une balançoire qui m’appelle. J’arrête pour la pause lunch et reprendre mon air, il fait très chaud et à cette altitude, aucun point d’ombre sur le sentier. J’épuise d’ailleurs mon eau à un rythme fou, comme un gros V12 (vous verrez plus loin). Il n’y a pas meilleur endroit pour une pause lunch, et quelle vue, magnifique. De temps en temps, il y a une légère brise d’air plus frais. Mais la chaleur tient le coup. J’ai fait une petite vidéo 360 pour vous montrer, mais mon App sur iPad ne vent pas se mettre à jour. Ça ira plus tard ou à la maison.




Je poursuis la seconde moitié de la montée pour joindre Brunnihutte à 1860m. Il y a un très petit lac Klettersteig arrivé à destination, qui offre sur tout le tour de son rivage un sentier pieds nus. Il permet de faire le tour en marchant pieds nus pour découvrir les sens. Ce sentier (j’aurais dû prendre une photo) est parsemé de différents éléments (terre, sable, boue, pierre, cailloux, et autres, tant sec que dans l’eau) que l’on marche. J’ai lu après qu’il y avait un sentier de 1000 mètres réservé à la marche pieds nus qui se termine au lac.



Comme j’avais épuisé toutes mes réserves d’eau, je vais m’acheter deux bouteilles de 50cl, 11CHF (lire 19CAD avec le taux d’aujourd’hui!!!). Plus l’on prend de l’altitude, plus c’est cher pour boire et manger. Mais je n’avais plus d’eau, et à cette température (que voici), l’eau est essentiel lorsque je suis actif. À l’épicerie au village, une bouteille Evian de 500ml coûte 1,10CHF (1,88$cad). J’oubliais, il a fait tellement chaud, que mes souliers ont séché durant la montée.






Et ça tiendra ainsi jusqu’à 17h. Donc après en avoir transpiré un coup sur la montée, je descends par sentiers de montagne, trails et sentiers de randonneurs, et au limite de la ville, sur route de montagne asphaltée, 














Une fois au village, je me dirige vers mes deux options, vous vous rappeler plus tôt ce matin. Je me rends au bike shop du téléphérique vers Titlis. Ils vendent deux modèles de souliers de MTB, Crank Brothers, et Addidas Five Ten. Vraiment trop cher, le second, ils le vendent 280CHF auxquels je dois ajouter les clips Shimano à 20CHF, total 300CHF (512$cad!!!, je viens de les voir au Québec sur Google à 190$). Forcément, si ma semelle cède dans quelques jours, je n’aurais pas le choix pour poursuivre mon séjour sur deux roues. J’attends à Grindelwald, j’aurais probablement un meilleur prix et autres choix. Je file à la dernière option, autre magasin de sports, rien, ils ne sont pas dans le MTB.

L’après-midi étant encore jeune, je décide d’aller dans le Trail-Arena. C’est dans le secteur de la coupe du monde de MTB qui a eu lieu il y a 2 ou 3 semaines ici. Je pensais y trouver une quantité de trails, il y en a bien 12 mais de très courtes trails, sauf la 12 qui part de plus haut à Trubsee. Je fais les 1, 3, 4, 6 (qui est la fin de la 12) avant de retourner à l’hôtel pour une douche et une première lessive avec mon nouveau sac Scrubba. 







Demain matin, je me rends au téléphérique pour joindre Jochpass. Je m’informerai avant des conditions des trails, parce qu’à partir de Brunnihutte, on voit bien qu’il y a encore de la neige à la hauteur des sentiers de descentes. Ce sera ma dernière journée en MTB puisqu’il annonce ensuite de la pluie, de fortes pluies orageuses pour jeudi. Autrement que de rester dans la chambre, je pourrais bien aller passer la journée à Luzerne, tant qu’à être à 53 minutes en train. J’ai déjà visité deux fois, mais ce sera quand même mieux que de regarder les 4 murs à l’hôtel. Engelberg a déjà été arpenté dans tous les sens, tant à pied qu’en vélo. On fait vite le tour. Tous les plans sont fait pour être changés. Vive les vacances. 

Ah oui, avant d’oublier, voici un vrai V12, juste devant la gare, je suis un peu déçu de son propriétaire, il a encore ses pneus d’hiver par une telle température. Pas fort, ou pas un sous pour acheter de vrais pneus d’été.






Notés: il est déjà 23h, et ça fait deux fois que je sors de la chambre pour dire à mes nouveaux voisins de se la fermer. Un groupe de chinois qui ont prit 3 chambres, ça cri, ça claque les portes, et ça se chicane. Premier avertissement avec politesse (ils ne parlent que mandarin, et pas moi). 12 minutes après, je n’ai pas été poli, ils n’ont rien compris de ce qui sortait de mes poumons, mais à me voir aller, ils ont finalement compris. Hier soir, c’était une gang de français qui ont fait la fête au bar jusqu’à 1:30 du matin. Ce matin au déjeuner, ils avaient tous la gueule de bois. La nuit fut courte pour tout le monde. 



Furenalp - parcours en 3D

Voici le parcours de ce matin.


Furenalp sans vidéo

Bon, j’en était à la descente vers Engelberg. Mais avant, j’ai oublié quelques photos.
















La suite du texte est commandité par le restaurant. Le service est tellement long que j’ai eu le temps de poursuivre. Donc, sur les premiers dénivelés en descente, je croise 3 hommes de +70 ans en eMTB. Ça l’air si facile à monter alors que j’y descends molo. La pente fait +45 degré. C’est pentu. 




Après avoir franchi la barre des 1500m, je vois un sentier de MTB (l’enseigne marqué d’un vélo sur fond rouge) à ma gauche au lieu du sentier de montagne. Gauche toute. Au début, il faut éviter les cadeaux des vaches, fraîchement déposés ici et là. Beaucoup plus loin sur la descente, j’ouvre le chemin mais le fil électrifié est aussi marqué par une banderole de sécurité. Est-ce pour ceux qui y montent, ou pour ceux qui y descendent. Je passe et continu mon chemin. Oups, un premier torrent à franchir, l’eau descent du glacier du Titlis, froide, très froide et de bon courant. J’évalue qu’en pédalant rapidement, ça passe. D’un autre côté, la banderole était-elle là pour ça? De bons coups de pédales, je traverse, et ce qui devait arriver arriva. Ben non, je n’ai pas pris un bain glacial. Mais j’ai les pieds mouillés et gelés. Ça va sécher, ce n’est que de l’eau. Pas de photos, c’est enregistré sur ma tête.

Et bien, cette expérience s’est reproduite encore quatre autres fois, et la dernière, de l’eau à demi mollet. Et pourquoi insister et passer, et bien je ne voulais pas remonter les centaines de mètres de dénivelé. Dès que je vois un petit pont de randonneurs, je retraverse la Stierenbach pour ne plus à mettre les pieds dans l’eau. Même les Shimano attendus n’auraient pas survécu dans 18 pouces d’eau glacial. Les pieds bien mouillés, direction de l’hôtel, je ne peux changer de souliers, mais des bas secs aideront à moins geler. 

Changement de bas, et arrêt à l’épicerie. J’achète le nécessaire pour me faire un sandwich. Total de 4,90CHF, une aubaine comparé au sandwich d’hier préparé dans un café pour 17CHF. 

Au fait, lors de mon changement de bas, j’ai regardé si tout était sur vidéo. Hélas non. Et je ne remonte pas pour tout refilmer. La caméra était en mode boucle, et j’ignore pourquoi, je n’utilise jamais ce mode. Ce mode permet d’enregistrer en continu mais en ne gardant que les 10 dernières minutes. Inutile en voyage à vélo. Je me suis assurer être en mode vidéo pour la suite. Enrageant, mais je dois faire avec.

Je me dirige vers Brunni-Bahnen pour la suite.

Furenalp en sens horaire

La journée s’annonce sous un soleil de plomb, beau et chaud, mais demain, il fera 5C de plus. Alors j’opte pour une première sortie vers Furenalp (1845m) pour me rendre à Stauber (1635m) pour redescendre à Engelberg (1004m) par l’autre rive de la rivière Stierenbach qui prend sa source dans les hauteurs de Stauber et passe par Engelberg. 

La journée débute encore par un arrêt au bike shop. Il est fermé mardi et mercredi. Je retourne prés de l’hôtel, il y en a un petit, il est ouvert que les jeudis et vendredi. La raison de mon arrêt, la semelle d’un de mes souliers commence à décoller, pas une bonne chose. Le temps fait son œuvre. J’avais déjà commandé des nouveaux Shimano avant mon départ, plutôt pour avoir des souliers qui résistent à l’eau, pas pour remplacer ceux dont les semelles sont en fin de vie. Il me reste deux options, j’irai en fin de journée. Je dois juste faire attention à ne pas tirer sur la pédale droite, pas évident en montée.

Avant de quitter l’hôtel, j’ai demandé dans quel sens faire mon parcours matinal. Sens horaire, car pour monter c’est très abrupte. Ça monte à plus de 45 degré à certains endroits. Sur une dizaine de mètres de dénivelé, ça se fait bien mais sur +500 mètres de dénivelé, c’est autres choses. Au fait, je n’ai croisé aucun cyclistes sur un MTB, mais quelques uns sur des eMTB. Il y a même un randonneur sur ma montée de Brunnihutte qui m’a félicité, me disant qu’il n’y a plus de MTB ici, et trop de eMTB. Forcément ça aide à monter, et plus vite, sans respecter les randonneurs, alors qu’à coup de mollets, c’est plus lent et moins agressif envers les randonneurs.

En descendant de Stauber, j’ai croisé 3 cyclistes d’au moins +70 ans qui montaient sans effort ou presque en mode turbo sans presque pédaler. Sur ma montée jusqu’à Furenalp Bahn à 1100m, je me suis amusé à dépasser des eMTB et autres vélos électriques. Pour faire le circuit en sens horaire, il faut prendre le minuscule téléphérique pour 6 personnes et maximum 2 vélos. Je paye les 19CHF demandé et je monte. Ça me fait penser qu’en écrivant ces lignes, j’ai un rabais de 50% avec ma carte de train, j’ai oublié.

Rendu à Furenalp (1850m) sans effort, photo et je quitte. Oups, avant j’installe ma caméra 360 sur mon casque, je mets en fonction et go. Je quitte par un sentier de randonneurs vers Stauber. À l’hôtel, on m’averti que les randonneurs locaux n’apprécient pas d’avoir des MTB sur leurs sentiers, mais c’est permis, et je laisse la priorité, ou je m’arrête pour céder le passage en disant merci. Vous vous rappeler de Suisse 2016, merci en Suisse allemand est la même chose, mais ça s’écrit Mèrssi.





Je fais mon petit bonhomme de chemin (de sentiers). Effectivement, en MTB non assisté électriquement, ça se fait en sens horaire. D’ailleurs je ne vois pas comme monter même en eMTB à certains endroits si ce n’est de pousser/porter le vélo. J’ai même descendu un secteur de quelques 30 mètres à côté du vélo. Trop étroit, trop pendu, trop risqué. À certains endroits, les vaches ont priorité, donc il faut attendre qu’elles cèdent le passage. 

Je ne prends pas beaucoup de photos, il faut faire un arrêt afin de capturer le moment présent, et j’ai tout qui s’enregistre sur ma tête, et en 360 degré, je verrai à la maison. Arrivé à Stauber, j’essaye de monter plus haut, il y a une grosse barrière en acier barrée. Les randonneurs peuvent passer par leur passage réservé, mais mon vélo ne passe pas, trop étroit. D’ailleurs, à certains endroits où l’on retrouve les fils électrifiés, il faut passer le vélo à bout de bras lorsque clôturé dans ces passages étroits. Autrement, on ne fait qu’ouvrir la clôture ou le fil électrifié, on passe et referme derrière soi. 

Je suis présentement assis dans le grand parc d’Engelberg en train d’écrire, et je viens de voir l’heure. 19h30, c’est le temps d’aller manger et je terminerai plus tard. 





Tour d’Engelberg en 3D

Voici un petit tour du voisinage après le montage du vélo à mon arrivée qui inclus l’arrêt au bike shop pour ma roue avant. 



23 juin, 2025

Ça pas commencé à l’heure

Au moment d’écrire ces lignes, il pleut, moins intense qu’à 13h. Bon, mon vol de Montréal devait quitter à 18h15, et finalement les pneus ont levé du tarmac à 20h12. Aucun lien avec la compagnie aérienne, mais plutôt à la logistique à Dorval. La même porte d’embarquement servait à 3 vols différents!!! Et le premier pour Varadero a été lui retardé de 70 minutes. J’aurais dû prendre une bouché au Salon, le repas a été servi à 22h. 

J’étais presqu’avec le pilote, en deuxième rangée. Premier à prendre place, et premier à sortir. Et les bagages sortent également en premier sur le carousel, mais pas le vélo. Le vol fut très turbulent, et le pire lors du service, pas facile de manger et s’assurer que son verre de vin rouge ne prendra pas le bord avec des chutes de dizaines de mètres dans le vide. Même en classe Affaires, je ne dors pas, j’ai roupillé 35min tout au plus. En arrivant en Suisse, ne restait qu’à récupérer le bagage et prendre la route d’Engelberg, plus de 2 heures plus tard en raison du vol.

En route, le ciel est bleu, en montagne, il se couvre. Puisque j’ai l’App Météo Suisse, je reçois une alerte d’orage violent à 13h, je suis encore dans le train à 12h53. En sortant du train, le déluge commence, l’hôtel est tout juste de l’autre côté de la rue. J’ai le temps de passer la porte que des chaises à l’extérieur s’envolent, les portes claquent avec les bourrasques violentes. Ça tombe pendant un bon 20 min, le temps de mon enregistrement, après, petite pluie continue. Je monte à la chambre, première douche. J’ai eu chaud, très chaud. 

En sortant de l’avion sur le tarmac, premier coup de chaleur, en entrant dans l’aéroport, deuxième coup de chaleur, ce n’est pas climatisé, seulement ventilé. Pour me rendre au train, un transit en bus pas climatisé et personne pour m’aider à monter ma grosse boîte avec mes deux sacs à dos, sur le dos. Enfin de la climatisation pour joindre Luzerne. Pour ne pas manqué mon transfert à Luzerne, j’avais 5min pile pour passer du fond de la voie 5, au fond de la voie 12. Ceux qui connaissent, savent qu’il y en a long à marcher. J’ai couru avec tout mon stock pour arriver dans un train sans climatisation. Et pour finir, une bonne pluie en sortant du train. Alors la première douche fut très appréciée. 

Je sors finalement arpenter le village à pied afin de me trouver un sandwich pour le lunch. En démarrant ma montre Garmin, je remarque que la vitre est fissurée à deux endroits et qu’il y a un morceau de verre manquant, comment j’ai fait mon compte. Il n’y a plus non plus de cartes dans la montre, est-ce le nouveau scan de Dorval qui l’a effacé! Le tour se fait assez vite. Je retourne à l’hôtel pour assembler mon MTB. Il fait encore chaud. Le skiroom est dans la salle de chauffage. Pratique l’hiver. J’en transpire un coup pour monter le vélo. 














Je quitte encore l’hôtel et en roulant, ma roue avant est bossée. Je trouve un bike shop et je fais faire l’ajustement. En démarrant mon Garmin Edge, il redémarre par un factory reset! Il n’y a plus rien sur mon Edge, plus de stats, plus de parcours, plus rien. Toutefois, tous les parcours sont sauvegardés sur la carte mémoire. Plus aucun capteur n’est  jumelé. Est-ce le nouveau scan à Dorval qui a tout effacé! Je remonte sur le vélo pour prendre de la hauteur, question de voir si j’ai encore des jambes. Top shape. Mais aussi pour voir le village d’un autre point de vue. 






















Le propriétaire du bike shop, qui loue également des MTB, propose de faire l’ascension par la gondole demain pour joindre Jochpass, la première portion du tracé qui mène à Trubsee n’est pas praticable pour le moment. Je me suis informé à l’Info Touristique, c’est 42CHF pour au day pass jusqu’au Jochpass. Au bike shop, il m’a dit que la descente sur les deux versants est mieux avec le day pass. La montée de plus de 1000m prend 2hrs pour quelqu'un habitué et en pleine forme, et faire les deux versants, s’est une journée. Je continue mon expédition et avec les deux yeux dans le même trou, j’arrive à monter 125m plus haut. Photos et je redescends par un sentier de randonneurs.  

Ça pas commencé à l’heure, mais le restaurant ici vient d’ouvrir, à 19h, je commande et retour à l’hôtel, dodo, demain la journée sera longue. Toutefois, je réévaluerai suivant la pluie. Il pleut toujours ce soir et ça devrait se terminer à 20h. La pluie, et toujours la neige qui fond en hauteur, pas bon pour les sentiers. J’oubliais, j’avais une invité à table durant ma rédaction. 






Suisse 2025 en MTB, c’est parti pour les 3 prochaines semaines.

Il est passé 20h30, je ferme et me couche.