04 juillet, 2025

Crans Montana en un coup de vent

Un fois rendue à Sierre, il faisait très, même trop chaud, alors au lieu de retourner au camp de base, j’ai décidé de monter à Crans Montana (1498m). Arrivé au village, je fais vite le tour et je cherche un parcours pour descendre. Il fait aussi chaud ici, mais moins d’humidité. C’est très soutenable contrairement à près de 900 mètres plus bas. J’opte pour la route proposée par SwissTrail #180. C’est indiqué « trail » comme revêtement. Enfin. 

Les 10 au 14 septembre 2025 se tiendra ici le Championnats du monde du mountain bike UCI 2025. En février 2027 aura également lieu le FIS Alpine World Ski Championships. Pour le moment, pas question d’aller essayer les trails, il faut encore payer pour les télécabines et monter encore plus haut à 2275m. Pour le moment je fais vite le tour, je me rends à l’étant Grenon pour la photo avec le Crans Montana. 









Je vois enfin les enseignes pour les trails de Swisstrails. Je vais descendre avec la trail #180 pour 10km, mais je vois qu’elle emprunte aussi la route pour débuter. La route mène au second étang, l’étang Moubra à 1424m. 



En suivant les indications pour la #180, la trail se dirige vers l’ouest alors que Sierre est beaucoup plus bas, et à l’est. Pas grave, je verrai bien un autre sentier pour corriger le tir et me rapprocher. Bien que la trail descend, c’est en montagnes suisses (russes). Mais encore une fois aujourd’hui, il ne s’agit pas d’un sentier de descente proprement dit, mais de routes de montagnes. Pour de vrais sentiers de MTB, il aurait fallu payer une passe de descentes et monter plus haut. Mais il n’y a que 3 pistes, une rouge, une noire, et une double noire. 









Une fois aux limites de Sierre, la route de montagne sillonne les nombreuses vignes du Valais. Les raisins ne sont pas encore à leur pleine maturité, ça ira fin août début septembre pour les vendanges. À faire tant de chemin de montagnes, le MTB reste encore le meilleur vélo, pas sûr que je me lancerais dans de tels chemins en Gravel bike. Ce n’est pas tant tapé et les roches et galets sont instables. 





Avec encore une fois cette chaleur suffocante, retour au camp de base climatisé par train. Comme expliqué avant, il est bien plate de devoir payer le même coût pour un vélo que pour un passager. La plus part du temps, je dois rester debout à côté du vélo puisque seulement certaines voitures acceptent les vélos (entre 2 et 4) alors qu’une fois sur deux, je me tiens au niveau des portes puisqu’il n’y a pas toujours d’espaces vélos. Je paye donc pour deux passages alors que je n’ai pas l’espace vélo pas plus que je peux m’assoir dans la voiture. J’ai déjà, à ce jour fait deux voyages de plus de 2hrs debout à côté du vélo, alors à quelques 100CHF, c’est cher payé sans oublié mon transfert dans la voiture du fret. Mais en contre partie, le service est impeccable et toujours à l’heure. C’est le prix à payer.



Demain sera un autre jour en MTB. 

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